Nietzsche
Nietzsche n’a pas du tout (encore) basculé dans la folie, lorsqu’il livre, dans Le crépuscule des idoles, ces « divagations d’un inactuel » : « Morale à destination des médecins. Le malade est un parasite de la société. Réduit à un certain état, il est inconvenant de vivre plus longtemps encore. (...)