Un film des tiranas

, par Julian Bejko


Je ne me souviens pas très bien de l’année, mais je suis né sur une terre déclarée zone rouge foncée, où les pensées et les mouvements n’étaient possibles que par des laisser-passer comme à l’époque féodale, surtout quand il s’agissait de s’évader à Tirana.